Cargo de nuit
Axel Bauer : "Trente-cinq jours sans voir la terre / pull rayé, mal rasé / on vient de débarquer (cargo de suie) / Trente-cinq jours de galère / et deux nuits pour se vider (la nuit te suit, change de port, cargo de nuit) / J'avance sur ce quai humide / la sueur brûle comme l'acide / l'enfer va commencer (cargo de nuit) / Bière chaude et narguilé / chez Mario, tout oublier (la nuit te suit, change de port) / Mais cette machine dans ma tête / machine sourde et tempête / mais cette machine dans ma tête / leitmotiv, nuit secrète / tatoue mon âme à mon dégoût (cargo de nuit)
Lanterne rouge : je guette l'entrée / l'alcool est mon allié / l'amour, il faut payer (cargo de nuit) / Virée grasse, elle m'entraîne / vers l'angoisse et la rengaine (la nuit t'ennuie, change de port) / Mais cette machine dans ma tête / machine sourde et tempête / mais cette machine dans ma tête / leitmotiv, nuit secrète / tatoue mon âme à mon dégoût / j'ai voulu tout chavirer / mon espoir s'est échoué / j'en ai marre de ramer / la détresse polluée / l'océan de mes pensées / Mais cette machine dans ma tête / machine sourde et tempête / mais cette machine dans ma tête / leitmotiv, nuit secrète / tatoue mon âme à mon dégoût (cargo de nuit, cargo de nuit...)"